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Rendre de nouveau serein, ramener à la sérénité, au calme.
Raisonnement trop subtil. (Faux ami avec l'anglais, où il signifie « raisonnement bien pensé ».)
Infantilisation du verbe "répéter".
(Figuré) Qui empêche une chose, qui a un gros défaut et qui de ce fait est inacceptable.
Qui se répète, qui emploie une quantité de symboles supérieure au nécessaire pour transmettre une information
"Relou" est un mot verlan (langage des rues semblable à un ver lent grignotant doucement…) signifiant "lourd". Dans un contexte particulier, désigne une action/personne qui a fait/dit une chose qui a déplu à l'émetteur de ce mot.
Odeur de renfermé.
Fait de reconnaître qu'on a commis une faute, accompagné de la résolution de s'amender. L'expression consacrée quand on agit de la sorte est « venir à résipiscence », et quand on fait agir quelqu'un : « amener à résipiscence ». Mot emprunté au latin ecclésiastique resipiscentia, lui-même dérivé de resipiscere, « reprendre ses sens, revenir à soi, se remettre, se repentir », lui-même formé de re et de sapere, « avoir de l'intelligence, du jugement ».
(Commun) Un rhéteur dans l'antiquité, est un orateur qui enseigne l'art de bien parler. Ce mot est aussi utilisé plus généralement pour celui qui pratique la rhétorique. Il sait discourir et déclamer pour convaincre en s'attachant à la forme et au fond suivant certains préceptes d’éloquence (à l'oral comme à l'écrit).
(Péjoratif) Personne dont toute l’éloquence consiste dans un style apprêté, affété, emphatique et déclamatoire.
La rhétorique (du grec ancien ῥητορικὴ [τέχνη] / rhêtorikề [tékhnê], « technique/art oratoire ») désigne au sens propre l'art de bien parler, l'art ou la technique de persuader, généralement au moyen du langage.
Verlan du mot argotique « bourrin » Se dit d'un système particulièrement lent, lourd, et qui ne fait pas dans la dentelle. Utilise souvent la force brute et l'ignorance massive.
Quand vous hésitez entre les qualificatifs « moron » (un emprunt à l'anglais), menteur, et « jeteur de poudre aux yeux », choisissez rodomont !
Apprenez que ce mot vient de Rodomont, personnage de l’Arioste.
Ainsi, ne dites plus « quel hâbleur ce type », mais « cette espèce de rodomont me gonfle ». Voici le seul extrait pompé sur le net illustrant l'utilisation de ce mot, qui risque de disparaître de la langue francaise…
Henri IV ayant dit un jour à l'ambassadeur d'Espagne : « Ventre-saint-gris ! Si le roi d'Espagne me fâche, je l'irai relancer jusque dans Madrid », et l'ambassadeur lui ayant répondu avec désinvolture : « Vous ne servez point le premier roi de France qui y aurait été » ; le Béarnais ajouta sur un ton moins furieux : « Monsieur l'ambassadeur, vous êtes Espagnol, et moi Gascon. Si nous nous mettons sur la rodomontade, la chose ira loin. »